“Z comme Zoïde”

Abécédaire Zoïde

 

 

Accueillir

Recevoir quelqu’un qui vient à nous.

“Soyez les bienvenu(e)s”

Au Cafézoïde, la porte est ouverte à tous sans exception.

L’hospitalité qu’on y cultive reconnaît en chacun le droit d’être ensemble .

Brême

“Dans un village situé non loin de Brême, un meunier vivait avec son âne.

Ce dernier prenant de l’âge, son maître décida de le tuer pour récupérer

sa peau. Mais dans la nuit, sentant les ennuis venir, l’âne s’enfuit.

Il décida de se rendre à Brême pour devenir musicien.

En chemin, l’âne rencontra un chien devenu trop âgé pour la chasse et dont son maître voulait se débarrasser. Il proposa au chien d’aller avec lui à Brême pour s’engager dans l’orchestre municipal.

En chemin, l’âne et le chien rencontrèrent un chat et un coq dans la même situation qu’eux et leur proposèrnt de les suivre sur la route de Brême.

Un soir, les quatre animaux découvrirent une maison habitée par des voleurs. Bien décides à prendre leur place, ils se débarrassèrent des voleurs grâce à un plan : l’âne se mit devant la fenêtre de la maison, le chien monta sur l’âne, le chat sur le chien et le coq sur le chat; quand ils furent ainsi installés, ils bondirent par la fenêtre et les voleurs s’enfuirent.

Après la disparition des voleurs, ils décidèrent de s’installer dans la maison. Le chef des voleurs envoya plus tard un de ses hommes pour voir s’ils pouvaient récupérer la maison. Peine perdue, les animaux, dans le noir, l’attaquèrent de toutes parts. Les animaux finirent par s’installer définitivement dans la confortable maison.”

Conte de Jacob et Whilhem Grimm.

Le logo du Cafézoïde s’inspire de ce conte car il reprend les idées de rencontre entre individus différents sur la base de l’amitié et de l’amour de la musique.

Il parle aussi du succès des faibles contre des plus forts quand ils savent être solidaires.

Cafézoïde favorise les liens, l’altérité, la confiance, la mixité, la non exclusion, l’accueil inconditionnel, les projets collectifs et la pratique des arts et de la musique avant toute chose !!!!

Café

Historiquement venu du moyen orient, le café a été pensé avant toute chose comme un lieu de socialisation et de rencontre où l’on se rassemble pour boire du café, écouter de la musique, jouer, lire …

Avec le temps, le café deviendra un véritable centre de la vie sociale, un espace de débats où l’on discute, se dispute, où l’on apprend les nouvelles, ce qui fera dire à Balzac que le comptoir d’un café est le parlement du peuple. Cafezoïde reprend le concept dans son sens premier, en pensant le café comme lieu de convivialité, de rencontres, de jeux, de débats, de citoyenneté ouvert à tous et où chacun peut trouver sa place, sans condition de consommation, de tarifs, ou d’orientation de clientèle.

Droit des enfants

                                                                                                                

La colonne vertébrale du projet de l’association.

La Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE) est un traité international adopté par l’ONU en 1989 dans le but de reconnaître et protéger les droits spécifiques des enfants.

C’est une déclinaison propre aux enfants des droits de l’homme.

Au regard de la loi, l’enfant est donc reconnu comme une personne porteuse de droits qui doivent être reconnus et qu’il doit pouvoir exercer.

Cafezoïde souhaite offrir aux enfants un espace ouvert où ils seront informés de leurs droits et où ils vont pouvoir les expérimenter dans une ambiance de respect, de liberté et d’écoute.

Les articles 12 et 31 de la CIDE résument à eux seuls la raison d’être des cafés des enfants.

Article 12. «Les Etats parties garantissent à l’enfant qui est capable  de discernement le droit d’exprimer librement son opinion  sur toute question l’intéressant, les opinions de l’enfant étant dûment prises en considération eu égard à son âge et à son degré de maturité ».

Article 31. « Les Etats parties reconnaissent à l’enfant le droit au repos et aux loisirs, de se livrer au jeu et à des activités récréatives propres à son âge, et de participer librement à la vie culturelle et artistique.

Les Etats parties respectent et favorisent le droit de l’enfant à participer pleinement à la vie culturelle et artistique, et encouragent l’organisation à son intention de moyens appropriés de loisirs et d’activités récréatives, artistiques et culturelles, dans des conditions d’égalité ».

Enfants

« Un enfant est une petite personne . Il est petit pour un petit moment, puis il grandit. Il change sans y faire attention. Tout doucement et en silence, son corps s’allonge. Un enfant n’est pas un enfant pour toujours. Un beau jour, il change. » Beatrice Alemagna

Un enfant c’est aussi un cadeau de chaque jour car il habite le présent, une maison qu’on délaisse trop souvent.

La Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant de 1989 définit de manière plus précise le terme « enfant » :

« […] tout être humain âgé de moins de dix-huit ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt en vertu de la législation qui lui est applicable »

L’idée transmise, à travers cette définition et l’ensemble des textes de protection  de l’enfance, est que l’enfant est un être humain avec des droits et une dignité.

Ce qui caractérise l’enfant, c’est sa jeunesse et sa vulnérabilité.

En effet, l’enfant est un être en pleine croissance, un adulte en devenir, qui n’a pas les moyens de se protéger seul.

Aussi, l’enfant doit faire l’objet d’un intérêt particulier et d’une protection spécifique. C’est dans cette optique que des textes proclamant la protection de l’enfant et de ses droits ont été adoptés.

Famille

Réaffirmons notre conception (qui bouge et bougera encore au gré du temps et de l’émancipation) de la famille ou des familles. Car oui, la vie nous promet de connaître ou de naître ou de renaître ou de se fabriquer ou d’aimer une ou plusieurs familles.

Oui, oui une famille cela signifie être accueilli dans un groupe qui nous respecte nous protège avec lequel nous avons en commun des désirs, des valeurs, des projets, des partages de silence, de rires et d’idées, des instants de tendresse et d’abandon, des êtres avec lesquels l’espace se déploie pour être soi et sortir ses tristesses et ses désespoirs sans crainte du jugement, du vide ou du vide de l’oreille ou du désert dans le cœur.

Seul, on est déjà une famille. Hommes, femmes séparés, divorcés, en couple, amoureux, recomposés avec enfants, sans enfants, familles de quartier, famille du Zoide, famille d’amis, réinventons sans cesse la famille.

Grandir

« Grandir c’est apprendre à se séparer » dit Dolto mais comment se séparer sans se perdre ?

Le sens de la vie ne nous tombe pas du ciel.

Le sens de la vie, c’est ce que nous avons chacun à trouver. Une course en solitaire qui pourtant nous ramène toujours aux autres. Et Cafézoïde grandit avec l’altérité comme combustible, parce qu’il permet d’être en contact avec cet ailleurs de soi-même, il participe au grandir individuel et collectif.

L’art du décloisonnement des âges.

« Il faut de l’ailleurs pour grandir » Dolto

Harmonie

L’harmonie au Cafézoide est recherchée.

Le café des enfants n’est pas un hors-monde où les conflits, la complexité des rapports sociaux seraient absents, bien au contraire, ils sont présents, visibles .

Ce qui est en jeu c’est le lien, la place pour chacun, chaque humanité, ce qui fait que l’on partage ce bien commun, cet espace et qui fait accepter l’autre tel qu’il est et qu’on ne tente pas de le réduire aux normes en vigueur.

L’harmonie au Cafézoide c’est quand on a accroché sa peur au porte-manteau et qu’on chante une chanson.

Indépendance

Comment peut-on être indépendant alors qu’ « il n’y a pas d’humanité en dehors des hommes ?

C’est-à-dire qu’un enfant élevé en dehors de la communauté des hommes ne s’humanisera pas de lui-même, il n’accédera pas à la parole au langage, il ne saura communiquer s’il a été exclu de toute forme de relation.

Pour aller au cœur de l’idée « c’est comme si l’amour du parent pour l’enfant nourrissait l’amour de l’enfant pour le monde » (parent, éducateur ….) Alicia Libermann.

Alors l’indépendance se situerait ou ?

Dans une société prônant l’individualisme et la réussite, l’indépendance, l’autonomie sont des vertus à conquérir rapidement sous peine d’être « un  faible » une personne dépendante …

Mais n’y aurait-il pas un juste équilibre à rechercher entre le besoin des autres et la capacité à être avec soi-même. La capacité à se soustraire au tourbillon permanent des sollicitations extérieures pour s’écouter et se raccorder avec son intuition, son ressenti.

« Pourquoi la conscience carrée est-elle l’ennemie du sentir (ressenti) ?

-Elle n’est pas son ennemie. Elle est simplement un autre lieu de nous-mêmes. Elle est d’un autre usage. La conscience carrée est très utile pour fabriquer des trains, des routes, des avions, des villes, des médicaments, des canapés, des systèmes increvables. Mais elle est ainsi faite qu’elle ne veut pas goûter, elle veut comprendre. Elle ne veut pas jouer, elle veut travailler.

Elle ne veut pas de l’inexprimable, elle veut des preuves.

Elle ne veut pas être libre, elle veut être sure.

Elle doit être respectée, elle a des droits, et des pouvoirs.

Mais veille à ne pas lui laisser tous les droits, ni tous les pouvoirs.

Veille à ce qu’une porte reste toujours ouverte dans un coin de ta conscience carrée.

Il faut que tu puisses sortir dans le jardin. »  Henri Gougaud « Les sept plumes de l’aigle »

Alors ce petit Cafézoïde, que se propose-il si ce n’est d’être un bout de jardin, de cultiver un mode de pensée indépendant parce que plus en accord avec le ressenti et l’intuition ?!

Jeu

 

S’il se veut un espace démocratique, le Cafezoide se veut également un espace de jeu car « le métier de l’enfant c’est de jouer » dit on ici en écho à l’article 31 de la CIDE.

L’association part du postulat que le jeu alimente l’enfant, accompagne son développement.

L’enfant ne joue pas pour apprendre, il apprend parce qu’il joue.

Le Cafezoïde, proche en cela des idées de Jean Epstein, met en avant la notion de jeu libre à travers laquelle l’enfant par le plaisir d’une activité non dirigée va développer sa créativité, son imagination, des intérêts et des compétences qui lui sont propres.

Il semble que dans une société basée sur les valeurs de compétition, de rentabilité et d’efficacité, on ne laisse plus guère aux enfants ces moments précieux où l’on ne fait rien de particulier sinon rêver, imaginer … jouer.

Korczak

Une des figures de la pédagogie de l’enfance.

Cafezoïde se fonde sur une tradition de pédagogies s’appuyant essentiellement sur les notions d’expérimentation, de participation, d’écoute et de respect. L’équipe part de l’idée qu’il faut d’abord laisser l’enfant explorer et apprendre à aimer.

Ainsi au Cafezoïde l’enfant expérimente à sa façon, librement, suivant ses propres choix, son rythme.

Les orientations pédagogiques se basant sur cette idée qu’aucun être humain ne peut être « éduqué » par un autre et que le but éducatif n’est pas d’emplir l’enfant mais plutôt de cultiver son propre désir d’apprendre.

Inspiré notamment par Korczak, Dolto ou Montessori, Cafezoide milite pour un éducatif poétique, favorisant l’inventivité, la créativité, l’expressivité.

Tous ces processus considèrent l’apprentissage non comme l’accumulation de connaissances extérieures à l’individu mais comme l’expérimentation continue de sa propre formation à travers ses actions, ses choix, sa liberté.

Liberté

Au Cafézoïde la liberté a beaucoup de valeur.

Un café est avant tout un lieu ouvert.

Liberté d’être soi, liberté de bouger, de jouer, de fréquenter qui on veut, quand on veut.

Liberté d’expression, liberté de choix, liberté d’aller et venir, d’aimer ou non, de faire ou ne rien faire.

La seule limite à cette liberté, c’est la non-violence.

Mode d’emploi

Au Cafézoïde, nous avons des règles du jeu, à lire et à relire 28 fois en cliquant ICI !

Nous

Ensemble de chacun
Collectif d’identités singulière et multiples
La diversité est notre richesse
Partageons – Uni vers.

Ouverture

Cafézoïde est ouvert toute l’année du mercredi au dimanche  de 10h à 18h. Parfois Nomade, il est possible de nous retrouver ailleurs : au gré des invitations, fêtes et autres rencontres.

Participatif

Le Cafezoïde pose la question de la place offerte aux enfants et aux jeunes dans les divers espaces de la société. La participation ne résulte pas d’un apprentissage théorique mais d’une expérience pratique. Ainsi, informer les enfants de leurs droits tout comme les associer à l’organisation du café permet un premier rapport avec cette notion. Celle-ci est encouragée quotidiennement via l’assemblée des présents. Cafezoïde souhaite ainsi offrir aux enfants un espace où ils vont expérimenter, tout d’abord à l’échelle du café, les prémisses d’une participation à la vie publique.

L’enfant est reconnu compétent socialement au même titre que l’adulte car il est entendu ici non  comme sa seule personne mais aussi comme individu vivant dans un collectif et donc capable de réfléchir sur les conditions de mise en place et de fonctionnement du collectif dans lequel il s’insère.

L’originalité du café des enfants tient dans cette « collaboration », cette parole partagée sans hiérarchie où chacun a à apprendre de l’autre. Chaque enfant est invité à se saisir du projet et « à mettre son grain de sel ». Ainsi le café se garde d’être un projet uniquement pensé par des adultes pour des enfants .

Quartier

Le café c’est la clef d’un quartier. Cafézoïde a pris racine dans le Bassin de la Villette. Cafézoïde aime Paris et le 19ème le lui rend bien. Le quartier est parfois la seule appartenance identitaire que les enfants et les jeunes mettent en avant. Curial, Ourcq, Laumière, Crimée, Riquet, Danube, Belleville. Cafézoïde marie les quartiers et favorise les liens sans frontières, la circulation de la belle amitié et du besoin d’universel qui est en chacun de nous .

Repas

“ La cuisine pour moi c’est un partage, une école d’apprentissage et un grand plaisir.

Quand je cuisine, je ne pense à rien à part ma recette.

J’aime bien me concentrer et prendre le temps pour offrir aux gens un beau et bon repas.

J’aime beaucoup chercher et inventer des nouvelles recettes et faire des plats raffinés et bien présentés.

Et puis c’est génial de faire des plats avec amour.”

Spectacles

Au Cafézoïde on peut être “artiste d’un jour ou pour toujours” !

Les spectacles sont parfois programmés, parfois spontanés.

Nous accueillons et créons des expositions, les musiciens et les artistes de tout poil sont les bienvenus pour expérimenter en créativité avec les enfants.

Tissage

Rencontre de deux fils qui permet de lier.

Au cafézoïde, le tissage de lien est une activité quotidienne de la rencontre entre les personnes.

Utopie

Le café des enfants est une belle utopie qui a vu le jour le 1er août 2002.

L’utopie c’est la rencontre d’un rêve d’enfant et sa concrétisation 30 ans plus tard par l’existence de nombreux café des enfants.

L’utopie, c’est le permis de rêver un monde idéal et harmonieux et d’au moins essayer de le réaliser à son échelle .

Vivre Ensemble

Au Cafézoide, vivre ensemble c’est un beau jour s’y rencontrer, jouer et partager un moment de rires, de danse, de découverte, avec les enfants, les parents et l’équipe d’accueillants. Puis un autre jour, c’est s’y retrouver, échanger, apprendre de nouvelles chansons et de nouveaux mots, préparer et partager un gâteau, rêver et inventer de nouveaux jeux et de nouvelles fêtes pour tous. Une poignée de jours encore et c’est connaître la couleur des yeux de sa voisine et de son voisin, se faire une surprise, se dire des secrets, partager une idée avec les enfants, les parents et l’équipe d’accueillants. Vivre ensemble au Cafézoide, c’est toujours y faire grandir de belles amitiés.

Wii

Je vous parle d’un temps que les plus de 20 ans ne peuvent pas connaître …». Alors oui, au Cafezoide il y a un pôle informatique équipé d’internet et une animation WII hebdomadaire. Les enfants y ont un accès libre. Cafezoide reste prudent face aux scénarios euphoriques ou apocalyptiques que joue le multimédia qui n’est ni l’avènement de l’homme nouveau ni l’instrument de sa décadence. Il n’est qu’un outil de plus avec ses avantages et ses dangers potentiels. Au Cafezoide, généralement on écoute de la musique en groupe sur « You t… » ou on joue à des jeux vidéo, parfois les deux combinés. Si beaucoup d’enfants ont une console ou un ordinateur chez eux, il est notable qu’ils apprécient venir partager ces moments avec d’autres ici. Les enfants s’échangent des tuyaux, partagent l’appareil, négocient le temps d’utilisation alors qu’ils pourraient en jouir seuls chez eux, preuve que le multimédia n’étouffe pas totalement nos relations sociales. On ne nie pas la grande attractivité de ces supports qui souvent désespèrent les parents mais avouer qu’il est tentant de devenir tour à tour : joueur de foot, pilote de formule 1, combattant barbare …

X

        Yoga

Apprendre à habiter son corps, son esprit, son milieu tout en jouant.

Aller vers une autre connaissance, une autre perception de soi.

Il y a d’autres ateliers qui mettent directement le corps en jeu : marcher sur la corde, danses de toutes sortes : libre danse, bal, africaine, hip-hop, scènes ouvertes.

Et le Cafézoïde est ouvert à d’autres propositions.

Zoïde

La dernière lettre de l’alphabet mérite sans doute un retour aux sources.

Un rêve, une idée qu‘une enfant a porté, une évidence, une certitude que sa petite graine allait germer.

Malgré les difficultés qui n‘ont pas du manquer, elle n’a pas fléchie.

Sa détermination et sa volonté farouche ont donné naissance au premier Café des Enfants.

Anne-Marie Rodenas, pour la mise en oeuvre de ce projet surréaliste et utopique a su s’entourer des bonnes personnes désintéressées, solidaires et humanistes : une équipe rodée à toutes les épreuves, ouverte et réactive.

Son idée a prit forme et s‘est concrétisée pour le plus grand bonheur des enfants. Le cafézoïde est un lieu créatif, joyeux et pétillant de vie.

La mixité est sa marque de fabrique.

Ainsi elle a ouvert la porte avec son Cœur, créant ainsi ce lien entre les hommes : le vivre ensemble. Une atmosphère riche en enseignement sur la tolérance, le partage et le goût des autres. Une véritable aventure humaine. Anne-Marie a su transmettre et multiplier la petite graine, ce qui a permis à d’autres à travers la France et bien au delà de s’inspirer de cette merveilleuse expérience.

La Fédération des Cafés des Enfants a vu le jour, elle réunit des personnes de grande qualité. C’est a elles aujourd’hui de perpétuer cet esprit que l‘enfant a toute sa place dans la société, en offrant un lieu ouvert sur le monde.

On peut espérer participer à leur construction et à leur développement, trouver un équilibre, une harmonie, ou tout simplement la vrai vie.

C’est une belle cause qui mérite qu’on souhaite longue vie à tous les Cafés des Enfants.

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